Un grand merci à Fred Pellerin pour l’inspiration de cette merveilleuse chanson »Silence ».
LA MAISON DE DAVID – AVANT
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Voici la maison originale que mon ami David a acheté il y a de cela environ 8 ans, vue en été et vue en hiver. C’était une vieille maison construite en 1947 par un monsieur relativement pauvre, avec des matériaux de fortune trouvés ici et là, selon ce que m’a raconté le voisin de gauche.
Cette maison a toujours été habitée par des gens pauvres et les derniers propriétaires étaient des hyppies, des gens sympathiques, peu attachés au matériel, qui aimaient voyager et cette maison n’était qu’un pied-à-terre pour eux.
David, mon ami, a acheté cette maison pour plus ou moins le prix du terrain. La maison n’avait à peu près aucune valeur.
Dès que David l’a acheté, nous nous sommes mis au travail pour la rénover de fond en comble. Parfois nous ne savions où donner de la tête. Quelques hommes y ont travaillé mais j’ai été le principal artisan qui a fait le plus de travaux sur ce qui allait devenir au prix de beaucoup d’efforts, une très belle petite maison.
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LA MAISON DE DAVID – APRÈS
Oui! C’est belle et bien la même maison (pas tout à fait), et elle est située au même endroit, sur la même fondation, entre les mêmes maisons, à l’adresse 789 rue Marquette à Longueuil (Québec, Canada). Nous y avons travaillé plus d’un an. Nous n’avions pas le droit de la démolir et la rebâtir parce que la municipalité avait établi que le terrain était trop petit pour les (nouvelles?) normes. Donc il fallait la rénover d’un bout à l’autre.
Les boîtes à fleurs de chaque côté de l’escalier, sont faites en béton et recouvertes du même crépit blanc que le reste de la maison. Nous avons fabriqué de fausses-persiennes de style champêtre pour enjoliver la nouvelle fenestration.
David et moi avons construit la nouvelle clôture en bois que nous avons teinte, et en treillis de plastique blanc. Au préalable j’avais fait des chanfreins au centre de tous les madriers 2 par 4 et de chaque côté des 4 par 4 en bois avec ma toupie pour emprisonner les feuilles de treillis dans ces rainures. Nous n’avions qu’à installer le 2 par 4 du haut et aligner le treillis dans sa rainure, visser au dessous des 4 coins en angle et le treillis était installé.
À cause de la dénivellation du terrain, nous avons été obligés de couper un peu de chaque feuille de treillis et faire un léger angle sur toute la longueur de chaque feuille de treillis, suivant la même distance du sol, et bien sûr, tous les 2 par 4 du bas ont été ajustés selon cette dénivellation. Chaque feuille de treillis devait être coupée de dimension différente, selon l’endroit où elle se trouvait, la distance augmentant en allant vers l’avant de la maisons. C’est l’égouttement du terrain vers la rue quand il pleut. En aménagement paysager (j’y ai aussi travaillé) les terrains sont nivelés en légère pente, plus haut en arrière et descendant vers l’avant de la maison. Dans les pluies diluviennes, les terrains s’égouttent dans la rue qui a des égouts à différents endroits, menant aux rivières et aux fleuves. Donc tout ça pour expliquer la dénivellation des terrains versus les clôtures qu’on y installe et qui doivent s’harmoniser avec le décor naturel.
J’ai utilisé ma »track » de menuisier pour couper les feuilles de treillis blanc sur toute la longueur de chacune, 8 feuilles au total de l’avant à l’arrière de la maison. La »track » en aluminium de 8 pieds (et quelques pouces de plus en réalité), bien ajustée et serrée avec ses poignées/serres coulissantes, permet une coupe très rectiligne et on peut ajuster la coupe à l’angle qu’on veut sans problème. Couper en angle sur un banc de scie est une chose assez aléatoire et comporte beaucoup de risques d’endommager la pièce à couper. Les feuilles de treillis sont assez minces et molles, ce qui les fait courber beaucoup et elles ont vraiment besoin d’être supportées sur toute leur longueur. Une longue et large table est l’idéal. Couper à la main à la scie ronde sans guide n’est pas la meilleure chose à faire côté précision et chaque latte à tendance à donner un contre-coup lorsque la lame rotative tournant à grande vitesse vient la toucher pour commencer à la couper, de qui peut être catastrophique car il n’est pas rare qu’une latte se brise si on n’utilise pas de guide. Même avec un guide il y a toujours certains risques mais ils sont de beaucoup atténués. Ce n’est pas du tout comme couper une feuille pleine, sans tous ces « trous » entre chaque latte. Il faut en couper pour le savoir.
Je préfère presque toujours la précision à la rapidité. La rapidité a prouvé à maintes reprises (elle le prouve toujours) qu’elle gaspille du matériel…ET DU TEMPS (ce qui est paradoxal), car on doit recommencer, et si on est le moindrement intelligent il faut compter le déboursé pour remplacer le matériel bâclé, le temps de refaire et parfois retourner acheter ce qu’on doit acheter pour remplacer (essence, usure du véhicule, risques d’accident sur la route, attente aux caisses, parfois l’item n’a pas le code barre et il faut attendre un préposé à la caisse pour aller le trouver, les taxes additionnelles qu’on donne aux gouvernements). Payant de travailler trop vite?
Tout le monde fait des erreurs? C’est vrai… mais quand on travaille plus vite on en fait plus, c’est inévitable et je n’aime pas ce »gambling ». J’ai passé ma vie à refaire le travail mal fait de tellement de gens. Tant de fois… et ça arrive encore et encore. C’est tellement frustrant et navrant.
Il y a nombre d’années j’avais travaillé durant un été dans l’installation de clôtures, cela m’a servi encore ici.
Nous avons installé des capuchons à lumières sur chaque 4 par 4 en bois. Le soir, l’éclairage était superbe, vu des alentours, côté sud.
Un moment donné, nous avons dû démolir le mur arrière au complet et la maison ne tenait que par la poutre centrale attachée par des câbles, des courroies à cliquets et mon vérin sur roues pour lever des automobiles. Le mur arrière était complètement pourri à cause des infiltrations d’eau depuis une très longue période. Il était donc nécessaire de le refaire au complet. David m’a dit avoir des photos mais ils sont dans l’un de ses anciens disques durs d’ordinateur et il est trop occupé pour les chercher. Il a démoli une bonne partie des cloisons l’intérieur de la maison à la masse, et a aussi débâti une partie du grenier à l’avant et une autre à l’arrière. J’ai pu sauver quelques petites armoires antiques que j’ai décroché des murs avant qu’elles soient mises en pièces par la masse de David, qui m’a confié avec un petit sourire, que ce qu’il aime le plus faire dans la rénovation, c’est démolir (ce qui n’est pas mon cas car j’aime tellement recycler). J’ai apporté les petites armoires antiques à mon amie Mimi qui adore rénover des meubles antiques.
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L’une des petites armoires antiques (qu’on appelle une pharmacie) que Mimi a rénové et installé dans sa salle de bain.
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L’autre petite pharmacie ramenée de chez David, et que Mimi à refaite à son goût.
Il y avait plusieurs petites pièces dans cette maison et elles ont été démolies pour en faire moins mais de plus grandes. Tout était croche et laid dans cette piaule qui ressemblait plus à un ancien chalet très bas de gamme qu’à une maison. C’était un cauchemar pour une personne qui aime la belle finition, les choses droites et symétriques.
Comme on le voit sur les deux photos de la maison originale, la façade était une extension du genre solarium mais n’avait pas les fenêtres à multiples carreaux qu’on y retrouve normalement. Nous avons décidé de prolonger le toit de la maison vers l’avant afin que cette extension au toit plus bas disparaisse et que la maison ait un look beaucoup plus uniforme. Nous avons refait aussi la façade, c’était inévitable, ainsi que des parties de côtés avants sur le haut. Nous avons déplacé la porte d’entrée qui était sur le côté gauche de la maison, presque complètement à l’avant et nous l’avons installée vraiment sur la façade de la maison du côté gauche. Nous avons installé des fenêtres neuves, une porte d’entrée neuve, une porte arrière neuve, mais au fond toutes les fenêtres de la maison nous les avons changées une à une. Nous avons installé des planches teintées en brun pour faire un style extérieur »Maison Normande ».
Le pavé uni sur le devant a été fait par un contracteur mais pour celui du côté droit de la maison, David le voulait d’un style de briques d’un look plus vieillot, nous l’avons fait nous-même avec un genre de briques qu’il a choisi. Je trouve que ça donne un style café-terrasse européen. Bien sûr au préalable nous avons creusé le sol, installé de la membrane, de la poussière de roche et bien compacté le tout, nivelé le sol et recompacté avant d’y installer les briques J’ai travaillé aussi dans l’aménagement paysager, inclusivement le pavé uni et la construction de patios, à la fin des années 80, pour une pme qui s’appelait Aménagement Richelieu.
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Ne pas se fier à la photo car la lentille déforme et les briques semblent être en dénivellation mais en réalité tout est bien droit.
Le crépit blanc sur la maison a été fait par un vieux maçon de métier, Bill Gluck, aidé de David. J’ai trouvé une grosse poutre rustique pour le devant de la maison à l’intérieur car il fallait bien supporter l’extension de la nouvelle poutre du toit. C’est la force colossale du gros Bill qui a installé l’énorme poutre verticale. C’est un Ukrainien qui avait 62 ans à l’époque, gros, grand et très fort.
Le toit de la maison a été refait au complet et deux puits de lumières ont été installés dans le toit de la cuisine.
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J’ai démoli le faux plafond plat de la cuisine et nous avons conservé le plafond en pente d’un côté car David aimait ce style angulaire. La cuisine avait été construite sur un ancien garage étroit et long, c’est l’extension du côté gauche de la maison. Je ne sais combien de fois j’ai dù aller ramper entre le plancher de béton original du garage et le plancher de la cuisine, qui avait été construit un peu plus haut que le plancher en béton. J’en ressortais tout sale, plein de brin de scie, de poussière et de vieilles toiles d’araignées.
Il fallait y traîner plein d’outils et une extension électrique avec une lumière, c’était l’enfer. À l’autre bout je passais à peine sous les solives. On se payait ma tête quand je ressortais du trou tout sale.
Je ne sais pas en quelle année les gens avaient opéré cette transformation du garage en cuisine mais nous avons conservé la cuisine à cet endroit bien que nous ayons à peu près tout changé de place, notamment, les comptoirs, le lavabo, et nous avons installé les entrées et sorties d’eau et le lave-vaisselle, qui n’existait pas auparavant. Il se trouve sous le comptoir où on voit le malaxeur. David a commandé des feuilles d’acier inoxydable d’un atelier de métal et je les ai installées sur les murs où il y a les comptoirs de cuisine, des deux côtés. Avant de les installer il fallait calculer et couper avec précision tous les rectangles où se trouvent des prises électriques. Il n’y a pas beaucoup de machines ou outils qui peuvent couper des feuilles d’inoxydable sans les abimer. L’inox est un matériau très dur, beaucoup plus dur que l’acier ordinaire. La machine la plus utilisée est la petite rectifieuse avec des disques à couper. Laissez-moi vous dire que c’est un travail très stressant car la coupe à la rectifieuse de l’inox le brule et il devient jaune et bleu sur les rebords de la coupe, donc, cette décoloration ne doit pas excéder le bord des plaques électriques. Aussi, le disque projette à grande vitesse des étincelles qui peuvent abimer le fini de l’inoxydable. On a que très peu d’espace pour couper un petit rectangle et ça prend une précision d’enfer. Les feuilles d’inox sont très dispendieuses et il ne faudrait surtout pas les gâcher. On a intérêt à beaucoup réviser ses mesures et à utiliser la machine de mains de maître.
Le frigo a été encastré dans la pièce du fond qui est un vestibule. Nous avons aussi installé des feuilles d’inox sur les dessous des comptoirs et nous y avons ajouté de l’éclairage. La cuisine est dotée de plusieurs interrupteurs et différents éclairages. Les dessus de comptoir sont faits de tuiles de céramiques noires bordées de moulures d’aluminium. La hotte de cuisine est en même temps un four micro-ondes. Tout le travail a été exécuté avec une grande précision et beaucoup de souci du détail. Je suis une personne qui adore le travail très bien fait, fignolé au maximum, dans les moindre détails. David et moi, nous nous entendons très bien sur cette façon de travailler.
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La partie avant de la cuisine. La petite salle à manger ou dînette juste devant la fenêtre. Sur la gauche, nous avons aussi pratiqué une ouverture très large donnant sur le salon, jetant une partie du mur à terre et construisant une porte d’arche. Derrière le cadre où on voit un palmier se trouve le panneau électrique. J’ai installé une penture à piano du côté gauche derrière le cadre, fixé au mur, de sorte que le cadre pivote de côté comme une porte. Le panneau électrique est pas mal plus petit que le cadre avec le palmier, c’était voulu de ma part. J’ai pu installer autour du panneau électrique un panneau en composite MDF et du velcro aux 4 coins et ce panneau est amovible et laisse de l’espace tout le tour du panneau électrique car en rénovation on a presque toujours de nouvelles idées et on ajoute de nouveaux circuits électriques, donc du nouveau filage et si nécessaire, de nouveaux disjoncteurs. Donc j’ai prévu de la place pour travailler autour du panneau sans avoir à briser le mur. Je me suis heurté à tant de problèmes dans ma vie de rénovateur que j’ai appris à être prévoyant et cette initiative a été payante sur cette maison même car David a changé d’idée si souvent en cours de route (rires).
Dans le coin gauche en haut, on voit une plateforme retenue par une chaîne et une fixation au mur. C’était une idée décorative de David que j’ai réalisé et nous y avons installé des luminaires encastrés. Cette plateforme se trouve juste au-dessus de la porte d’entrée.
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Sous l’évier de la cuisine et aussi sous ceux de la salle de bain j’ai installé de la tuyauterie d’égout de 2 pouces et bien entendu dans la cave jusqu’au drain principal tout est en 2 pouces, y compris le drain du lave-vaisselle. Les coudes sont démontables pour y faire le service mais je pense que ce ne sera jamais nécessaire vu la grosseur des tuyaux. Je suis un maniaque de l’espace de rangement (la logistique), donc la tuyauterie a été conçue pour utiliser le moins d’espace possible, bien tassée au fond du comptoir. Rien n’est trop long et ne prend plus de place qu’il ne le faut dans la plomberie. Les drains et entrées d’eau des éviers de la salle de bain sont conçus sur le même principe pour sauver le plus d’espace possible. Je me donne beaucoup de peine lorsque je construis quelque chose mais tout est pensé pour des résultats optimums. Je ne suis vraiment pas celui qui construit quelque chose n’importe comment.
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David voulait l’intérieur de sa maison de style très moderne et high-tech, alors nous l’avons conçu selon ses goûts. Il a choisi le matériel lui-même. La moulure en aluminium au coin arrondi sur le flanc de cette petite table surélevée a été très difficile à installer. Il a fallu la plier en rond pour épouser le coin et elle agissait comme un ressort avec beaucoup de pression. Rien n’a pu la faire tenir en place collée… sauf mon ultime idée… de la supercolle (cyanoacrylate)… et une série de courroies à cliquets pour la maintenir sous pression durant le temps où la colle devait sécher. Incroyable la force de cette colle!
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Dans le salon nous apercevons la grosse poutre à la verticale, celle que Bill a saisie à bras-le-corps et l’a installée où elle se trouve. Bien sûr nous l’avons vissée solidement au mur, à la poutre du haut et au sol
Dans la partie du centre de l’ancien grenier nous avons construit une mezzanine et une autre plus petite, un peu plus bas où nous avons installé une grande table en verre en »L », deux ordinateurs, trois écrans et deux chaises capitaine sur roulettes. Nous avions déjà prévu et installé des fils réseau pour Internet dans les murs à cet effet. Nous avons construit un escalier menant à la petite mezzanine, le dessus des marches est fait du même bois-franc que le plancher, ce qui fait chic. Sous la plus petite mezzanine, nous avons fabriqué un cabanon de rangements et sa devanture est une étagère pour les appareils audio-visuels, dont une télé cinéma-maison. Nous avons aussi prévu le filage des hauts-parleurs dans les murs. L’avant du salon est à toit cathédrale car comme j’ai écrit plus haut, David a démoli cette section du grenier. Les planchers ont été remis au niveau et nous y avons installé du bois-franc de couleur foncée.
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Sous le miroir, au fond du salon, un foyer à l’éthanol à été posé dans le mur. Je n’ai pas participé à l’installation, mais c’est un ajout à la maison que je voulais signaler car David y a mis passablement d’argent et beaucoup de coeur.
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Dos au chaises-capitaines se trouve la grande mezzanine, juste un peu plus haut, l’ancien grenier qui a reçu un nouveau plancher. C’est un endroit de rangements séparé par des rideaux. On pourrait aussi y dormir. En haut de la fenêtre nous apercevons le climatiseur mural que nous avons installé, y compris le câblage et la tuyauterie menant à l’extérieur au condensateur. Le technicien n’a eu qu’à connecter et faire son remplissage de gaz réfrigérant. (j’ai travaillé dans l’installation de ce type de climatiseurs aussi, mais assez brièvement).
Nous apercevons aussi le petit vestibule d’entrée que nous avons construit, à portes-miroirs coulissantes.
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Sous le divan se trouve une porte (trappe) d’accès à la cave de service. Il y en a une autre dans la chambre à coucher, devant la porte de sortie arrière. J’ai dû découper ces portes d’accès à même le nouveau plancher et je leur ai installé des poignées à anneau, le tout encastré dans ces petites portes d’accès. Un petit travail de précision qui m’a demandé d’ajuster ma toupie pour une profondeur peu creuse et de réajuster ma toupie pour la partie plus creuse où se trouvent les anneaux.
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La salle de bain, ou plutôt salle de douche, puisqu’il n’y a pas de bain. Nous lui avons installé un plancher chauffant sous les tuiles de céramique (avant d’installer les tuiles, bien sûr). Le plancher de douche est un creux plus bas que le plancher du reste de la pièce, toujours en céramique. Les murs de la douche sont en céramique blanche.
Nous avons installé un miroir mur à mur, commandé avec 3 ouvertures rectangulaires (une à droite hors de la photo) Dans ces ouvertures nous avons installé 3 néons encastrés dans le mur (ne sont pas allumés sur la photo).
La machine à laver et la sécheuse sont superposées et le mur a été construit selon leur dimension. En face du miroir de l’autre côté du mur il y a des armoires de rangement, on voit leur réflexion dans le miroir. Derrière la porte d’entrée (d’où a été pris la photo, se trouve une porte d’armoire cachant le chauffe-eau. La plomberie au-dessus occupe le minimum d’espace et retourne au mur. Une tablette au-dessus du chauffe-eau donne encore de l’espace de rangement qui autrement, serait perdu en bonne partie.
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Le contrôle numérique de la douche
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Sous le miroir, une grande feuille d’acier inoxydable, dans laquelle j’ai dû découper les ouvertures pour les robinets des éviers et les prises électriques (2), un autre travail où on retient son souffle, tellement la découpe doit être précise. Que de stress parfois, et c’est pas rare. Je me souviens que ces robinets vissés dans le mur par l’arrière m’ont donné beaucoup de mal. Les aligner parfaitement a été un enfer. Il y a des portes d’accès pour faire le service d’entretien pour les robinets et les néons de l’autre côté du mur, dans le cabanon de rangement où se trouve la petite mezzanine et la table de verre vus un peu plus haut.
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La chambre à coucher à toit cathédrale.
Dans le coin, la porte arrière de la maison, dissimulée derrière un rideau qui va jusqu’au sol. Il y a un écran géant face au lit, sur le mur opposé. Dans le coin gauche de la pièce, près du miroir, se trouve le grand vestibule de la maison (walk-in).
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Le vestibule, avec beaucoup de rangement judicieusement installé. à l’autre extrémité ce n’est pas une porte mais un grand miroir.
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La maison est aussi munie d’un échangeur d’air électronique. Cet item n’a pas été installé par moi, mais bien sûr j’aurais pu le faire.
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LA REMISE-ATELIER D’ANDRÉ
Il y a environ 2 ans, chez André (un ami de longue date), je suis allé à quelques reprises passer quelques jours chez lui pour l’aider dans son projet qui avait pris beaucoup de retard pour diverses raisons et nous avons installé les cloisons et fabriqué ses fermes de toit (trusts) pièces par pièces.
La fondation en béton était déjà coulée et les 4 murs étaient déjà construits lorsque je suis arrivé. Cependant les murs étaient couchés au sol comme souvent en construction c’est plus facile de construire les cloisons par terre, puis de les lever et les installer. Cependant elles étaient trop lourdes pour les soulever à mains d’hommes.
J’avais déjà, avec une équipe de 2 autres hommes, construit un chalet en bois-rond il y a une vingtaine d’années et nous avions construit un système de câbles d’acier attachés au haut de grands arbres, puis à la base de d’autres. nous avions installé une poulie sur le câble d’acier passant au dessus de la fondation et j’avais amené mon palan à chaîne pour soulever les arbres au sol, que nous avions au préalable, coupés, transportés avec un tracteur et dénudés de branches et d’écorce. C’était un genre de téléférique et la poulie roulait sur le câble d’acier très tendu, comme ceux des funambules qui marchent sur leur « corde raide »
Donc, chez André j’étais aussi monté dans les arbres avec une longue échelle et j’avais installé des câbles, bouts de chaînes et grosses courroies à cliquets. Au dessus de la fondation à peu près au centre, selon la trajectoire entre 2 arbres. Ainsi, avec mon palan à chaîne nous avons pu soulever les cloisons et les installer à leur place une à une, les fixer au béton et les fixer les unes aux autres aux 4 coins.
Nous étions en automne et la pluie était fréquente. Nous devions fabriquer les fermes de toit de toutes pièces.
Quand j’avais construit le chalet en bois-rond nous avions aussi construit les fermes de toit pièce par pièce et nous étions 3 hommes, chez André c’était la 2e fois de ma vie que je construisais des »trusts » et encore nous étions 3 hommes.
Nous avons donc installé une grande toile pour faire un toit temporaire nous protégeant de la pluie. Ici et là nous avons fabriqué des structures pour soutenir la toile, et à certains endroits où l’eau de la pluie s’accumulait et formait des poches nous avons dû installer des planches. Donc au fur et à mesure nous apportions des corrections à ces supports sous la toile pour que l’eau s’égoutte mieux. C’était une installation de fortune mais elle était fonctionnelle et suffisamment solide. Il y a des jours où il ventait beaucoup, c’était très humide et assez froid. Certains autres jours nous avions des accalmies et du soleil et bien sûr ça travaillait mieux.
Je me demandais pourquoi je ne trouvais pas de photos de moi en train d’y travailler. Banal car c’est probablement moi qui prenais les photos.
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Le dessin apparaissant sur le cahier des plans qu’André a acheté pour monter son petit atelier-garage, néanmoins il a changé les dimensions du plan et a fait sa construction plus large et plus longue. Il a aussi ajouté une petite porte de garage à l’extrémité droite sur le côté plus ombragé mais comme je viens d’écrire, le bâtiment est plus large que ce qu’on voit sur le dessin.
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Le petit bâtiment vu d’arrière (côté long). La toile bleue descendant sur un flanc recouvre l’ouverture de ce qui sera la petite porte de garage, ce sera pour y entrer et sortir la souffleuse à neige mais une petite voiture passerais probablement tout juste.
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La partie du devant .Les fenêtres ne sont pas installées, ni les 2 portes. Les jours de pluie nous glissions la feuille de contreplaqué pour couvrir l’ouverture de la porte. À l’intérieur, à la lumière nous voyons les fermes de toit empilés les uns sur les autres. Nous n’avions que très peu de place pour travailler à l’intérieur, donc nous avons construit les fermes de toit un par un à partir du sol et avons construit le deuxième sur le premier, le troisième sur le deuxième et ainsi de suite. Nous étions à l’abri de la pluie et c’est ce qui comptait.
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L’assemblage de fortune des madriers qui soulevaient la toile plus haut et permettaient à l’eau de glisser jusqu’à l’extérieur des murs, et empêchaient des poches d’eau de se former. Ça a été un processus et nous avons dû parfois modifier le système au gré des vents et de la pluie. Nous avons recouvert les extrémités des madriers d’un matériau spongieux pour éviter de percer la toile.
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André m’avait installé dans une chambre au sous-sol. Il y avait un bureau de travail qu’il a débarrassé de ses toiles et j’avais apporté quelques boîtes à documents pleines de modèles à coller d’automobiles et camions, de pièces et d’outils de maquettistes. Je fais ce qu’on appelle en modélisme, du »scratch ». C’est à dire beaucoup de modifications. Je transforme des modèles anciens de voitures de rues en voitures de courses de type Stock Cars. Je modifie des camions anciens en »ramp trucks ». Ce sont des camions qui transportent des voitures de courses, généralement des camionnettes de une tonne ou plus qui ont un châssis rallongé et une benne adaptée pour recevoir la voiture, des supports à pneus et des coffres pour l’outillage et les pièces de rechange. C’est une de mes passions depuis mon enfance à l’époque où j’allais voir des courses d’autos avec mon père et sa deuxième femme.
À titre d’exemple, le camion est un Ford C600 de type »ramp truck » mais c’est aussi un camion à benne basculante appelé »roll off truck ». La benne a été fabriquée avec un support à épices en plastique, une gracieuseté de ma mère qui s’est empressée de le décrocher du mur pour me l’offrir de bon coeur quand je lui ai dit que son »rack » était ce qu’il me faudrait pour construire mon camion. Cela remonte au début des années ’80, donc il y a plus de 30 ans. Maman a toujours eu un coeur en or et son plus grand plaisir était de nous faire plaisir. Je fabrique aussi des figurines, des outils de garage miniatures et autres pièces, le tout de différentes échelles.
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André debout tenant son niveau de 4 pieds et Réjean l’ajustant au sol. Une certaine quantité de ferme de toit a été fabriquée à date. Nous avons fabriqué des gabarits pour chaque petite pièce, en avons coupé en série sur une scie à onglet coulissante. J’étais souvent »l’opérateur » de la scie à onglet et occasionnellement je travaillais à l’assemblage.
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Le dernier des grands »trusts », avec son panneau extérieur de copeaux de bois déjà installé. Sur le dessus, André prépare les 2 petits fermes de toits qui connecteront à 90° sur les grands (voir dessin en haut de page). Il y aura là aussi plusieurs pièces supplémentaires à ajouter et assembler.
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http://dansnotremaison.com/trucs-astuces-et-bricolage/bricolage-renovation/construire-des-fermes-de-toit-trussen-bois-de-charpente/
Je n’avais pas de photo de l’installation des fermes de toit. J’ai trouvé celle-ci sur Internet qui est tellement semblable à ce que nous avons fait. Mais nous avions un palan et nous hissions les fermes de toit en l’air et les dirigions aux bons endroits en les déposant avec le palan.
Nous avons donc installé les fermes de toit , puis installé les panneaux de copeaux de bois pour fermer le tout, puis placardé la remise-atelier pour l’hiver. André avait d’autres préoccupations et a reporté la fin de ce projet pour l’année suivante. Néanmoins, ce que nous avons pu faire ensemble, nous l’avons fait vraiment très bien, prenant le temps qu’il faut, le temps de bien mesurer, bien vérifier, bien couper, bien assembler, bien ajuster et ainsi de suite. L’année d’ensuite j’étais déménagé encore plus loin de chez lui et j’avais moi-même plein d’autres préoccupations. André a dû terminer son projet avec notre ami commun, Réjean. Je suis passé le voir cet été et j’ai vu sa remise-atelier terminée. Je n’avais pas mon appareil photo avec moi. Je viens de le contacter et lui demander quelques photos de son projet terminé. Il m’a dit qu’il va en prendre quelques unes mais il est assez nulle en transfert d’images par internet m’a-t-il répondu, m’offrant de faire le voyage pour passer les chercher s’il ne réussit pas à me les envoyer.
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ARMOIRE DE CUISINE RALLONGÉE / RACCOURCIE
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Mimi avait besoin d’espace de rangement dans sa cuisine. La partie brune pâle ce sont les panneaux que j’ai coupés et rajoutés. Un petit exercice de menuiserie que j’ai fait des tas de fois dans ma vie.
Il me restait les 3 longues portes à couper et installer.
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Plutôt que de rajouter 3 autres petites portes j’en ai refait 3 grandes, avec aussi les angles dans les contours, un style de portes des années 60 et 70 que j’ai respecté et refait de la même manière que les originales plus courtes. Le faux-fini de teintes de bois sur les portes et sur l’armoire c’est l’oeuvre de Mimi qui est experte en peintures faux-fini.
Une ironie de la vie, c’est que peu de temps après, une personne proche lui a donné 2 machines beaucoup plus récentes, à chargement frontal et avec les 2 tiroirs optionnels sous les machines. Donc elles étaient (et sont toujours) plus hautes que le bas de l’armoire. J’ai dû recouper tout ça en enlevant l’espace d’environ une tablette.
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Voici les dernières modifications que j’ai faites sur cette armoire. En-dessous j’ai fabriqué une tablette pour ses gros bols à salades. Il y avait un petit coin perdu sur le flanc de l’armoire, sur la gauche de la photo. j’y ai rajouté des tablettes triangulaires et Mimi a fait son oeuvre de peintures de faux fini imitation bois.
Un coin de mur inutilisé. Je lui ai trouvé une utilité.
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Je fais mes calculs.
L’armoire en construction. Il ne reste que les portes à installer.
Cette armoire va servir de garde-manger.
La peinture faux-fini imitation bois blanc c’est encore le travail de Mimi, ainsi que les poignées de portes.
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Mimi s’est fabriquée une petite table de salon ronde. Elle voulait y insérer un plateau rouge au beau milieu du dessus et elle m’a demandé si je pouvais lui couper et enlever le centre. J’ai pris mes mesures. J’ai pris ma toupie, l’ai ajustée pour une première coupe moins profonde. Puis, je l’ai réajustée pour couper toute l’épaisseur du bois en diminuant le diamètre du trou. Ce qui est resté c’est l’épaulement où son plateau devait aller se poser. Le plateau allait donc être encastré dans la table.
Le travail exécuté.
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C’était la porte de ma chambre lorsque j’habitais chez Mimi.
J’avais arraché tous les cadrages de porte, rempli les fentes autour de la porte, refait la finition au plâtre. J’avais installé le filage dans le mur, un disjoncteur dans le panneau électrique, l’appliqué mural, un gradateur d’éclairage dissimulé sous une moulure de tablette. Les briques sont des dessins fait avec des teintes et mélanges de peintures, du faux-fini fait par l’artiste qu’est Mimi, ma meilleure amie. Le soir, l’éclairage ajusté au gradateur donne à ce coin un cachet particulier, lorsque les autres lumières autour sont fermées.
Ce qui est remarquable de ces dessins de briques faits de la main de Mimi c’est qu’elle en a aussi fait les extrémités à 90°, ce qui donne encore plus de beauté à son travail.
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Avez-vous déjà vu un interrupteur et un thermostat encastrés dans un mur? J’avais fait cela au départ parce qu’ils nuisaient à ma série de petits coffres à tiroirs transparents, empilés jusqu’au plafond. Puis Mimi a repris cette chambre. Je lui avais amené cette petite porte qu’elle a installée pour cacher les deux contrôles.
Sabler un comptoir de cuisine en stratifié, usé et brulé par des poêles à frire ?
Plus simple de changer le stratifié?
Et si vous ne trouvez pas la couleur désirée?
Il existe des peintures très résistantes pour les comptoirs, dans des variétés de teintes. Mimi voulait son comptoir d’une certaine couleur en fini imitation bois.
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Les comptoirs peints par Mimi en faux-fini bois. Les briques du mur et les armoires sont également l’oeuvre en faux-fini de Mimi.
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Le patio de Nicole, une amie, J’en ai refait une partie, dont l’escalier au complet. Il avait été installé croche. J’ai dû le détacher et le réaligner correctement. Puis sur les mêmes mesures, le refaire au complet.
J’ai refait aussi les planches en angle du dessus. Les pointes étaient coupées plus ou moins droites, fait par des professionnels du patio. C’était encore du travail vite fait. En tout cas voici ma coupe et je ne m’y prend pas du tout de la même manière qu’eux. Le creux à droite a été caché par la boîte à fleurs que je devais réinstaller.
D’autres photos et textes à venir… quand j’ai du temps.
Post scriptum :
Dans ma vie j’ai fait beaucoup de rénovations, beaucoup de réparations de toutes sortes. J’ai travaillé dans des tas d’appartements, de logements, de maisons, sur des constructions de toutes sortes, J’ai creusé et installé des clôtures pour une PME, fait au préalable tous les calculs, refait des balcons, des patios, des cloisons, de la charpente, des murs, du coffrage, j’ai construit des armoires, installé des portes et des fenêtres, fait du carrelage, de la rénovation générale. J’ai travaillé dans divers ateliers et sur la route sur des installations ou des réparations. J’ai très peu de photos de quelques uns de mes accomplissements (à comparer à tout ce que je peux avoir fait). J’ai pourtant touché à tellement de choses, usé mes épaules et mes bras à sabler vigoureusement des murs et plafonds, visser des panneaux au plafonds, installer des choses aux murs, Travailler la métallurgie, monter, fabriquer, modifier et adapter tant de choses ensemble, transporter des coffres d’outils, des machines et des matériaux de toutes sortes. J’ai réparé des automobiles, des conteneurs de marchandises, fabriqué des modules publicitaires illuminés pour une autre PME, j’ai travaillé à monter des bateaux en fibre de verre, des distillateurs en série, sur du pavé uni, dans l’aménagement paysager , monté une maison en bois-rond selon les méthodes traditionnelles… et j’en oublie, J’ai monté des centaines d’ordinateurs pour 3zcom Informatique, travaillé sur le bloc commercial où tous les locataires me connaissent bien. J’ai appliqué mon cœur à faire de l’excellent travail et que me reste-t-il dans tout ça? À part tout mon expérience et mon savoir-faire je n’ai que quelques photos, mais au moins j’en ai quelques unes. J’ai aussi travaillé dans ma vie dans des entrepôts à recevoir et placer de la marchandise, opérer des charriots-élévateurs et J’ai travaillé pour une compagnie maritime dans leurs bureaux, à l’import-export. Néanmoins je demeure un très excellent manuel qui a les habilités à construire plein de choses et à l’esprit très créatif.
tout simplement magnifique je suis moi aussi bricoleur et je sais qu il y a beaucoup d heures de travail bravo a toi
Ma réponse se fait très tardive. Merci de l’encouragement. On a souvent peu d’éloges pour du travail très fignolé qui demande une patience d’enfer. Bonne journée, si jamais tu passes me relire.
Florent
Bonjour Florent,
J’ignore si ce courriel se perdra dans les nuages virtuels de la toile ou aboutira à son propriétaire. J’ai lu ton texte et je me suis dit que c’est exactement le genre de personne que ça me prendrait pour mener à bien mon rêve de rénover une bieille maison de 1803 ( ancienne école de rang) dont je viens de faire l’acquisition à Saint-Armand, sur le chemin Guthrie.
Je ne sais pas ou tu habites, si tu acceptes ce genre de contrat un peu fou, un peu loin de chez toi, peut-être, qu’importe, on ne sait jamais.
Au plaisir peut-être!
Jean-M
p.s. j’adore Fred Pellerin également. Point en commun!
Merci beaucoup de votre commentaire. Un beau jour il faudra que je passe voir comment vous vous débrouillez. Je suis de retour aux études à plein temps. J’ai vos coordonnées.
Florent
Merci pour toutes ces infos, voici une bonne lecture. J’ai appris différentes choses en vous lisant, merci à vous. Bonne journée à tout le monde ! Fabienne Huillet neonmag.fr
Merci à vous, Fabienne.
Bonne journée.
Florent
Grace à vous j’ai pu faire mon point merci j’aime ce cste wowouououoououououououououououoououououououououououou